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Qui sommes-nous ?

Nous sommes un groupe de 14 femmes, de différents horizons, de différents âges et de différentes cultures. Une bonne équipe pour suivre une formation POEC*
Cette formation est proposée par Pole Emploi et financée par l'AGEFOS PME, nous permet d’acquérir des compétences, requises pour occuper des emplois correspondant  à des besoins identifiés dans différents domaines professionnels (services sociaux, Tourisme, Hôtellerie, service à la personne, Commerce, Industrie).
Cette formation consiste aussi à découvrir de nouveaux métiers dans un secteur correspondant à nos compétences respectives.
Cette formation dure 3 mois, elle inclut une semaine en entreprise et est encadrée par de bons formateurs du GRETA d’Elbeuf qui nous proposent de très bons outils.
 *POEC  (préparation opérationnelle à l’emploi) financé par Pole Emploi


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L'HISTOIRE DE L'INFORMATIQUE

Rédigé par Ophélie

  L'HISTOIRE DE L'INFORMATIQUE

   

Le mot informatique a été créé en 1962 par Philippe Dreyfus.  Il s’agit d’un néologisme de la langue française fait de la contraction des deux mots « automatique » et « information ». Pour parler du traitement automatique de l’information.

 

Qu’est-ce que l’informatique ?

L'informatique est la science du traitement des informations avec des moyens électroniques. Elle est conçue pour servir les humains. Elle s'occupe d'enregistrer, stocker, traiter, organiser, transférer et présenter les informations sous une forme utilisable.
La Seconde guerre mondiale qui était une guerre d’action et de mouvement a été déterminante dans l’avènement de l’informatique. Jusqu’à la fin de la guerre, le principe général d’organisation est booléen et copié sur la Pascaline conçue en 1641, réalisée en 1645. Les améliorations apportées concernent la vitesse de calcul.


Premier ordinateur : L’ENIAC

L'Eniac est le premier ordinateur créé en 1946 par deux chercheurs américains de la Moore School John W. Mauchly et J Presper Eckert se mirent au travail. 
L'Eniac est le premier calculateur universel électronique. Celui-ci pesait 30 tonnes, occupait 160 m² et contenait 170 468 tubes électroniques, 70 000 résistances et 6 000 commutateurs qu'il fallait tourner manuellement avant de brancher les centaines de câbles nécessaires à l'exécution d'une simple opération. 
Grâce à l'électronique, il introduisit la vitesse dans le monde des calculateurs. Il servait à calculer des trajectoires balistiques.


Si les ordinateurs ont été conçus au départ pour exécuter des calculs numériques trop longs ou trop compliqués pour être effectués à la main, on s’est assez vite aperçu que de telles machines pouvaient également traiter des informations non numériques (par exemple, reconnaître une chaîne de caractères dans un texte). Les premiers ordinateurs datent de 1949. C'est la notion de programme enregistré, due à John Von Neumann et à ses collaborateurs, en 1945, qui transforme les machines à calculer en ordinateurs.

 L’histoire de l’informatique porte donc seulement sur une soixantaine d'années. Depuis ses débuts, l'informatique a connu des transformations profondes des matériels informatiques en vitesse, puissance, fiabilité, miniaturisation. La transformation du logiciel est au moins aussi profonde, transformation en qualité, sécurité, complexité, ré-utilisabilité. Les objets traités ont beaucoup changé : d’abord les nombres et les fichiers de gestion des entreprises (textes et nombres), puis les formules, les règles de calcul et de raisonnement, les signaux, les événements, les dessins, les images, le son, la vidéo. L’informatique a de plus en plus d’usages et de plus en plus d’utilisateurs, et l'usage principal passe par les réseaux.
Ces transformations du matériel, du logiciel et des usages ont modifié profondément la structure économique politique et sociale des sociétés humaines.
Wikipédia

Les 4 âges de l’informatique :
Le premier âge débute avec l’époque des pionniers et il se termine au milieu des années 60. Les ordinateurs de cette époque fonctionnent sur la base de la technologie des tubes à vide. Développé grâce à des investissements militaires, cet âge a fait évoluer l’informatique vers deux directions :
-  la construction de dispositifs matériels de plus en plus sophistiqués où les tubes à vide sont progressivement remplacés par des transistors,
- le développement de logiciels qui s’appuient sur des langages tels que FORTRAN, COBOL, ALGOL et LISP.
Le second âge lui succède jusqu’au milieu des années 70, il correspond sur le plan technologique à la mise au point du circuit imprimé et à la miniaturisation du transistor dans des circuits intégrés. Cette époque est marquée par l’introduction massive de l’informatique dans les entreprises et les grandes administrations.
Le troisième âge débute par la naissance des micro-ordinateurs et l’utilisation de l’informatique dans la plupart des activités quotidiennes. Cette évolution a été rendue possible par les progrès réalisés dans le domaine de la miniaturisation. Au début des années 70, un ingénieur développe un microprocesseur sur une « puce » grande comme une tête de punaise. Au niveau logiciel, le micro-ordinateur est accompagné d’un langage de programmation conçu pour les débutants, le BASIC.
Le quatrième âge débute avec ce millénaire avec l'explosion d'Internet qui bouleverse le mode de fonctionnement de nombreuses organisations en fournissant une quantité quasi illimitée d'informations et en permettant des échanges entre tous les points du globe.




Les supers ordinateurs :
Ces ordinateurs, essentiellement développés pour effectuer des calculs scientifiques intensifs, cumulent tous les superlatifs : les plus rapides, les plus avancés technologiquement, les plus chers, et donc les plus impressionnants !


1955 : IBM lance l'IBM 704 développé par Gene Amdahl.
 Il s'agit de la première machine commerciale disposant d'un coprocesseur mathématique. Puissance : 5 kFLOPS. On considère souvent que cette machine marque le début de l'ère des super ordinateurs dédiés au calcul scientifique. Elle utilisait une mémoire à tores de ferrite de 32768 mots de 36 bits et allait 3 fois plus vite que l'IBM 701. Grâce aux tores de ferrite, cette machine était très fiable (pour l'époque) et ne tombait en panne qu'une fois par semaine :-)


1958 : Pierre ChenusJean Bosset, et J.P.Cottet de la Compagnie des Machines Bull développent le Gamma 60, le premier superordinateur Français dédié au calcul intensif avec un support hardware du multithread. Cette machine très rapide et très en avance sur son temps sera fabriquée à 12 exemplaires.


1958 : Lancement du premier ordinateur commercial entièrement transistorisé, le CDC 1604, développé par Seymour Cray.

1959 : L'ordinateur ATLAS I étudié par l'université de Manchester et Ferranti introduit
deux nouvelles technologies fondamentales pour les ordinateurs modernes : la mémoire virtuelle et la multiprogrammation (on dirait aujourd'hui multitâche).
L'exécution des instructions s'effectuait en "pipeline" et la machine disposait d'une unité de calcul sur les entiers et une unité de calcul en virgule flottante. Elle développait une puissance de 200 kFLOPS.


 
1961 : Le premier IBM 7030 Stretch est installé au Los Alamos National Laboratory (LANL).
 Il s'agit d'un projet débuté en 1956 et mené conjointement par IBM et le LANL. Grâce à cette technologie, son processeur est deux fois plus rapide et sa mémoire 6 fois plus rapide que l'IBM 704.



1964 : Lancement du super ordinateur CDC 6600 développé par Seymour Cray

Sa mise au point sera délicate mais ce sera un grand succès… Puissance : 3 MIPS.
Control Data rencontrera de gros problèmes à cause d'IBM qui annoncera presque aussitôt le super ordinateur IBM 90 concurrent direct du CDC 6600. L'annonce de cette machine non existante avait pour but de retenir les clients d'acheter un CDC 6600 en attendant la sortie de la machine IBMIBM tentera à nouveau la même opération lors de la sortie du 
CDC 7600 en 1969 mais sera cette fois-ci lourdement condamné pour ce genre de pratiques.


1965 : Développement du super ordinateur soviétique BESM-6 sous la direction de Sergei
Alexeevich Lebedev de la société ITMiVT. Cette machine équipée d'un processeur 48 bits à 9 MHz et de 192 Ko de mémoire à tores de ferrite développait une puissance de 1 MIPS.
Cette machine d'usage civil et militaire sera fabriquée à 350 exemplaires jusqu'au début des années 80. Le dernier BESM-6 a été démonté en 1992.



1965 : Premier super ordinateur à architecture vectorielle : l'ILLIAC IV de Burrough. Il combinait
une architecture parallèle et pipe-line composée de 64 processeurs (256 processeurs avaient été prévus). Performance : 200 MIPS !
Cette machine fut un échec du fait d'énormes problèmes de mise au point. Le projet commença en 1964. Le premier Illiac IV fut installé à la Nasa en 1972 et il ne fonctionnera vraiment qu'a partir de 1975.


1969 : Lancement du super ordinateur CDC 7600 développé par Seymour Cray. Evolution du CDC 6600, il est basé sur une architecture "pipeline".


1973 : Mise au point du super ordinateur soviétique M10 sous la direction de Mikhaïl Kartsev.

 Il s’agissait d'une machine multiprocesseur d'une puissance de 20 ou 30 MIPS.Cet ordinateur militaire est longtemps resté secret car utilisé dans le réseau SPRN dédié à la détection du lancement des missiles ennemis par analyse des données satellites et au suivi de la trajectoire de ces missiles par radar.
Des dizaines de M10 ont été fabriqués pendant 15 ans et beaucoup sont encore en opération.



1976 : Cray Research Inc. présente le premier super ordinateur d'une longue lignée qui va utiliser avec succès une architecture vectorielle : le CRAY I.


1979 : Mise au point du super ordinateur vectoriel multiprocesseur soviétique M13 sous la direction de Mikhaïl Kartsev. La machine à base de circuits intégrés LSI développait une puissance entre 50 et 200 MIPS.


1981 : Dans la course à la puissance que se livrent les constructeurs de super-ordinateurs, CDC, après le CYBER 203 en 1979 sort le CYBER 205, l'ordinateur le plus puissant de son époque. Sa mémoire centrale est de 32 Mo et il délivre une puissance de 200 MFLOPS.
Août 1982 : Annonce du Cray X-MP, le premier super-ordinateur Cray multiprocesseur. Il pouvait comporter 2 ou 4 processeurs tournant à 105 MHz et développant une puissance de 235 Mflops chaque. Il pouvait aussi être équipé de 2 disques SSD (Solid State Disks, en fait composés de mémoire RAM) d'une taille maximale de 1 Go et d'un débit de 150 Mo/s ! C'est le Cray qui se vendra le mieux puisque 189 exemplaires seront construits jusqu'en 1988. (Le SSD est visible au premier plan, l'unité centrale est à droite sur la photo).

1985 : Commercialisation du CRAY 2, premier ordinateur à dépasser la puissance de 1 Gflop (1 Milliard de calculs en virgule flottante par seconde). La machine est équipée de 4 processeurs tournant à 250 MHz et peut adresser directement jusqu'à 4 Go de mémoire vive. Elle tourne sous Unix System V : UNICOS. Chaque processeur a une puissance de 488 Mflops. Un programme de multiplication de matrices utilisant les 4 processeurs dispose d'une puissance de 1.7 Gflops.
L'unité centrale (sur la droite) est entièrement immergée dans un liquide conducteur de chaleur et isolant électrique pour assurer son refroidissement. Les colonnes transparentes visibles à gauche servent à évacuer les bulles se formant dans le liquide entrant partiellement à ébullition au contact des circuits de l'unité centrale.

1986 : La société Thinking Machines commercialise le premier super ordinateur massivement parallèle d'un nouveau type : la Connection Machine CM-1pouvant comporter jusqu'à 65536 processeurs ! La machine est un peu conçue comme le cerveau humain car chaque processeur effectue un travail très réduit mais ce qui compte, c'est la façon dont sont reliés les processeurs entre eux. La machine reconfigure les connexions internes entre les processeurs pour résoudre un problème donné.
L'inconvénient de cette architecture est, bien sûr, l'extrême complexité de la programmation et surtout de l'optimisation des programmes pour la vitesse.

RESEAUX SOCIAUX

Rédigé par Jennifer




réseaux sociaux


Définition de : « Réseaux sociaux ou Social media » : Mode d'interactions sociales qui facilite la création, l'échange d'informations et de contenus  entre des individus et des organisations. Désigne aussi les plateformes qui rendent ces interactions possibles (telles que Facebook, Twitter, etc.)

 Le commencement des réseaux sociaux :

 
-En 1971: Le premier email a été envoyé.

-En 1991 : Le World Wide Web fait ses premiers pas lorsque Tim Berners-Lee du CERN propose un nouveau mode de distribution de l’information.

-En 1994 : un étudiant, Justin Hall lance son site « Justin’s Links from the Underground » pour se connecter au monde extérieur. Hall a publié sur son blog pendant 11 ans et est reconnu comme le père fondateur des blogs personnels.

-En 1995 : le réseau « Classmates » permettait aux Américains de retrouver leurs anciens camarades d’école, l’ancêtre de Copains d’Avant en quelque sorte. Le site utilise les technologies pour créer des relations humaines dans le monde réel et pas uniquement sur la toile.

-En 1998: Open Diary permet à ses utilisateurs de publier leurs journaux en ligne de manière publique ou privée sans avoir de connaissances HTML. Pour la première fois, les utilisateurs peuvent aussi ajouter leurs commentaires.

-En 2000: Wikipédia fait son apparition et publie 20 000 articles dès la première année ! Ce site a révolutionné notre accès à la connaissance et à l’information. Les teenagers (étudiants) en ont d’ailleurs fait leur meilleur ami pour leurs devoirs.

-En 2001: Meetup.com est un site de partage d’intérêts et de passion.
Suite aux attentats du 11 septembre, son fondateur se donne pour objectif d’utiliser le web pour que les gens se rencontrent et pas seulement online mais aussi dans la vraie vie. Aujourd’hui, chaque mois ce sont 340 000 groupes qui se rencontrent dans différents lieux pour échanger ou manger un morceau.

-En 2002 : Le réseau social « Friendster » est le premier site à atteindre un million d’utilisateurs.

-En 2003 : Ce sont trois grands sites qui font leur apparition et qui vont révolutionner notre façon d’utiliser le web, que ce soit dans la sphère privée et dans la sphère professionnelle : MySpace, WordPress et bien sûr LinkedIn. En un mois, MySpace réunit 1 million d’utilisateurs!


Pour WordPress, ce sont des centaines de personnes dans le monde qui travaillent ensemble pour créer un système gratuit de management de contenus. LinkedIn est un réseau social professionnel. Aujourd’hui, ce sont 200 millions de personnes qui ont un profil sur le réseau social.

-En 2004 : Mark Zuckerberg lance TheFacebook.com depuis sa chambre d’étudiant d’Harvard.

-En 2005 : ce sont les vidéos qui sont à l’honneur avec le lancement de YouTube. On peut désormais télécharger et partager des vidéos gratuitement avec sa famille et ses amis.

-Depuis 2006 : nous avons pris l’habitude d’écrire en 140 caractères avec Twitter.
Pour info, Twitter génère plus de 4000 tweets par seconde!

-La même année, Spotify permet à ses utilisateurs de partager leurs playlists musicales.

-Plus récemment encore, Google a voulu concurrencer les réseaux sociaux comme Facebook et Twitter et a créé Google + en 2011.

-Enfin, le dernier en date est Pinterest, créé en 2012, en tant que réseau social dédié à l’image. Le site a atteint les 10 millions d’utilisateurs plus vite qu’aucun autre site auparavant. C’est d’ailleurs le premier site utilisé majoritairement par des femmes.

Les chiffres clés des réseaux sociaux :
-Sur les 3,025 milliards d’internautes à travers le monde, 2,060 milliards sont actifs sur les réseaux sociaux, soit 68% des internautes et 28% de la population mondiale.
Temps passé sur les réseaux sociaux : 2 heures par jour dans le monde, 1h30 en France.

Pénétration des réseaux sociaux dans le monde :

-56% en Amérique du Nord
-44% en Europe de l’Ouest (42% en France)
-7% en Afrique
-5% en Asie du Sud



Les réseaux sociaux les plus connus :

         Facebook :
Date de lancement : 4 février 2004 (bêta)
Ouverture au public : 26 septembre 2006
Utilisateurs actifs mensuels (MAU) : 1,49 milliard (30 millions en France).
Utilisateurs actifs mensuels sur mobile : 1,314 milliards (24 millions en France).
Utilisateurs actifs quotidiens (DAU) : 968 millions (20 millions en France).
Chiffre d’affaires en 2014 : 12,466 milliards de dollars (+58% par rapport à 2013). Bénéfice en 2014 : 2,940 milliards de dollars (+96% par rapport à 2013).

     
Twitter
Date de lancement : 21 mars 2006.
Utilisateurs actifs mensuels (MAU) : 304 millions (2,3 millions en France).
500 millions de tweets envoyés chaque jour.
320 nouveaux comptes créés chaque minute.
Utilisateur le plus suivi : Justin Bieber, avec plus de 38 millions de followers.
Tweet le plus retweeté : plus de 3,3 millions de RT (Elen De Generes).


      Instagram
Nombre de membres : 500 millions.
Nombre d’utilisateurs d’Instagram Direct : 85 millions.
80% d’utilisateurs en dehors des États-Unis (65% en mars 2014).
30 milliards de photos partagées (20 milliards en mars 2014).
2,5 milliards de « J’aime » chaque jour (1,6 milliards par jour en mars 2014).70 millions de photos partagées chaque jour (60 millions en mars 2014).Un utilisateur suit en moyenne 134 personnes.46% des utilisateurs suivent des marques.70% des membres français se connectent à Instagram au moins une  fois par    jour.



      YouTube
Utilisateurs actifs mensuels (MAU) : 1 milliard.
Nombre de vues par jour : 4 milliards, dont 25% via mobile.





      Google+
Date de lancement : 28 juin 2011 (bêta).
Ouverture au public : 20 septembre 2011.
Membres inscrits : 500 millions.
Utilisateurs actifs (au sens large) : 540 millions
Utilisateurs actifs (au sens strict) : 359 millions
Temps passé sur le réseau : 6 minutes et 47 secondes par mois.






     
Snapchat
Nombre d’utilisateurs actifs mensuels (MAU) : 100 millions
Répartition H/F : 35% d’hommes, 65% de femmes
Âge : 71% des utilisateurs ont moins de 25 ans








                                           
      WhatsApp   
Date lancement : 2009 par Jan Koum et Bryan Acton.
WhatsApp est une application mobile multiplate-forme qui incorpore un système de messagerie instantanée via Internet utilisé par un milliard de personnes.








Le développement des réseaux sociaux :
Les nouveaux moyens technologiques accélèrent le développement des réseaux.
Ceux-ci se maillant toujours plus fortement produisent de nouveaux effets qui ont des incidences sur l’émergence, le repérage, l’enrichissement et la diffusion de connaissances, de valeurs ou tout simplement d’idées.

Le développement des réseaux s’observe  aussi bien pour des opérateurs privés que  « grands publics ». Pour les réseaux privés les entreprises encouragent l’organisation d’intranet, de plateforme, de groupes d’échanges des pratiques à destination de leurs propres collaborateurs. Mais, elles favorisent également des liens avec des communautés de clients (ex la communauté des bricoleurs de Castorama, ou les fans d'Apple).

Les réseaux sont identifiés comme des moyens de création d’appartenance et de connaissances partagées. Pour les réseaux « grands publics », un opérateur comme Facebook affiche même 1 milliard de comptes et affirme qu’à termes chaque habitant de la planète pourrait se situer à un clic d’un autre.

L'acquisition de téléphones portables et l'accès à internet ne cesse d’augmenter partout dans le monde (respectivement 5 milliards et 2 milliards d'humains concernés). La force d’un réseau en termes d’attractivité et de possibilités de service serait liée tout d’abord au nombre de ses membres.

Mais, cette force est aussi liée au flux d’échanges. En effet, plus les flux sont volumineux, plus une offre peut rencontrer une demande. La densification des réseaux structure donc une nouvelle forme de cerveau planétaire où nos neurones (chaque individu) seraient plus facilement en contact pour entrer en contact et créer des connaissances nouvelles.

Les réseaux numériques actuels offrent une variété de possibilités de participation chacun peut vivre le réseau avec le niveau qu’il souhaite. Il peut être voyeur (garder un œil sur ce qui se passe), passager clandestin ou flibustier (capter des informations de façon opportuniste), contributeur ponctuel ou relais voire même leader d’opinion. De plus chacun peut changer de niveau d’investissement et d’engagement en fonction des thèmes ou des moments. Chacun peut élaborer son identité numérique, ce qui n'est pas sans effet sur le reste de la vie de l'individu et sa façon d'appréhender l'autre.

 De nouvelles formes de sociabilités s'organisent. Tendanciellement depuis le début des années 80, pour la situation française la rencontre d'amis en face à face tend à diminuer (78% de rencontre dans une semaine pour 66% seulement dans les années 2000). Les contacts indirects qui étaient de l'ordre de 5% avec les répondeurs téléphoniques des communications au début des années 90 ont augmenté et sont aujourd'hui de plus de 20% avec l'avènement des SMS.
 L’évolution a donc progressé avec pour effet une prise de distance et une plus forte contingence émotionnelle.



 
Réseaux sociaux : Quelles opportunités pour les entreprises ?
L’évolution d’Internet a permis la création de nouveaux outils de communication et de travail pour les entreprises ainsi que pour les particuliers. Ce mémoire va se pencher sur une catégorie spécifique de ces outils : les réseaux sociaux. Il faut bien différencier les réseaux sociaux non virtuels, qui existent depuis des siècles (appartenance à un parti politique, à un club sportif, à une fraternité, à une religion, à un club de bridge, etc.), et les réseaux sociaux onlines, qui sont exclusivement basés sur l’utilisation d’Internet.

Le monde de l’entreprise a vite compris l’intérêt d’utiliser les réseaux sociaux, à des fins financières et favorisant la gestion de leur e-réputation. Certaines entreprises ont décidé de les utiliser à des fins professionnelles, afin de faire participer leurs employés et parfois leurs clients à la vie de l’entreprise.

Aujourd’hui, toutes les entreprises ont affaire aux réseaux sociaux, qui leur permettent de gérer leur image, de se développer financièrement et d’enrichir leur expérience sur le marché du web qui offre de toutes nouvelles opportunités, auparavant inexistantes. Les employés créatifs s’en donnent à cœur joie et on observe que des nouveaux métiers sont apparus avec l’avènement du web 2.0 : social media manager, community manager, social media application manager, web content manager ou encore search engine marketing specialist.





Les réseaux sociaux : un danger ?
Actuellement, l’endroit où il faut être est Facebook. Ce nouveau réseau social a déclenché un véritable phénomène international. Tout le monde s’y retrouve. Que l’on soit jeune ou plus vieux, tout le monde a un jour était sur Facebook. Malgré le fait que ce soit un moyen intéressant pour se faire des amis, garder le contact, s’exprimer, partager ses émotions, il présente aussi une face cachée qui peut être négative voire dangereuse.

Les dangers des réseaux sociaux comme Facebook guettent les adolescents car ils sont les premiers à avoir adopté ce réseau social. Ils sont les plus nombreux et les plus actifs sur ce site. C’est pour cette raison qu’ils en sont les premières victimes. Les adolescents peuvent être victimes de harcèlement moral, d’injures, photos obscènes… Les faits divers dus à l’utilisation de ce site se sont multipliés. Plus grave encore, les adolescents y partagent leur vie privée sans se rendre compte que leur intimité est exposée publiquement. Facebook permet de partager et d’échanger des messages, des photos et des vidéos. Cependant certains ados se servent de ces outils de communication pour insulter leurs contacts ou pour leur envoyer des photos obscènes. De plus en plus de soucis se déroulant à l’école s’immiscent sur Facebook ce qui n’est pas fait pour aplanir les choses. L’exposition des conflits et disputes sur ce site entraîne de réels débordements et peut aller jusqu’au harcèlement moral. Les directeurs d’établissements sont face à de nouvelles formes de difficultés qui ne vont que s’amplifier. On parle de cyber-harcèlement.

Facebook est le paradis des voleurs d’identité. Il s’agit souvent de détournement de photos ou de vol d’identité. Pour se faire passer pour une autre personne, il suffit juste de créer un profil au nom de cette personne.
Facebook a des côtés positifs et ludiques mais ce réseau social est malheureusement aussi risqué car le grand danger reste la pédophilie. Les adolescents les plus vulnérables sont une proie aisée pour les pédophiles et les délinquants sexuels. Quant aux statistiques du ministère de la justice en France, elles montrent qu’une quinzaine d’enfants par an sont victimes de violence sexuelle de la part d’un pédophile après l’avoir rencontré sur Internet.